Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son atelier, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, choisissant de faire les formules d'avant avec soupçon. Les flacons comportant les droits tristes étaient méticuleusement étiquetés et rangés à l’écart, https://leftbookmarks.com/story19365843/le-parfum-de-le-destin