Le vent sculptait des crêtes mouvantes dans l’immensité du Sahara algérien, effaçant toute marque de pas dès qu’un silence extraordinairement long s’installait. Étienne, un ethnologue abandonné, traversait cette mer minérale dans le contexte d’une visée d’étude sur les doctrines ancestrales. Son soin était acheminement par un camp nomade délaissé, solitaires https://rylanwipvz.pointblog.net/les-lignes-de-gerbe-77792850