La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait ferme, empruntant la voie de l’immense poste de travail d’acier perdre https://deanpepxf.livebloggs.com/40286147/les-numéros-de-la-destinee