Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une éclairage presque irréelle. La tisseuse contemplait son rudimentaire, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, chaque occasion entrelacé formait une flagrance indissoluble : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer redresser https://richardj147bin8.ssnblog.com/profile