Dans la Constantinople du XIIe siècle, où les coupoles dorées des églises reflétaient les mieux rayons du soleil, un être humain du patronyme d’Argyropoulos était devenu une énigme que nul ne pouvait ignorer. Il prétendait découvrir le destin dans ses programmes et, bien qu’aucune motif scientifique ne puisse être indication, https://charlienahnr.blogofoto.com/65047185/les-obscurités-du-complot-dissimulé